Lettre d'Oswald Wirth auteur du livre "L'imposition des mains"

Publié le par Nicolas-voyance

Aujourd'hui, je vous invite à découvrir la dernière lettre d'Oswald Wirth écrite le 19/01/1943 (dans son ouvrage "l'imposition des mains). 

Nicolas Duquerroy 

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Lettre d'Oswald Wirth auteur du livre "L'imposition des mains" : 
Nous devenons ce que nous sommes pour les besoins de rôle que nous avons à jouer, sans que l'acteur permanent s'identifie avec le personnage de théâtre qu'il représente transitoirement. Ce qui nous est difficile, c'est de nous connaître en ce que nous sommes par nous-mêmes, indépendamment du déguisement que nous portons sur la scène. Quêtions-nous dans la vie inconnue que nous menions avant de nous incarner et que deviendrons-nous après notre libération de notre service terrestre ? ... Je veux bien arriver de l'autre côté tout imprégné du rôle que je viens de jouer. Je puis ne pas vouloir rompre avec les camarades qui continuent à tenir leur emploi dans la pièce au dénouement de laquelle je m'intéresse. Il est des liens d'affection qui ne se rompent pas entre centres de rayonnement psychiques.
Je crois en l'amour, et à son indestructibilité quand il est immatériel. Si j'aime les humains dont j'ai partagé les misères en même temps que les aspirations les plus nobles, je ne puis les abandonner une fois sortie de leurs rangs de lutte terrestre. J'ai donc espoir de rester en liaison, une fois passé derrière le rideau, avec ceux dont la tâche n'est pas achevée... Je me refuse à renier mon patriotisme terrestre. Pas de désertion devant l'œuvre de rédemption humaine. C'est en aimant que nous pouvons être heureux, et je ne vois de félicité que dans l'amour qui se donne, et contribue au mieux, particulier et général.
"J'ai la conviction profonde que je ne me trompe pas", Oswald Wirth 

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